Discussion:Canton français

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Superficie[modifier le code]

Où est-ce qu'on peut trouver la superficie des cantons? Je suppose que les cantons de campagne sont mieux servi lors du découpage que les cantons urbaines, mais pour trouver la densité de population par canton, il me doit des chiffres par canton non seulement sur la population mais aussi sur la superficie. Qui peut me renseigner ?--Bancki 7 août 2006 à 11:38 (CEST)[répondre]

Communes qui appartiennent à plusieurs cantons, sans être le chef-lieu de tous les cantons[modifier le code]

A mon avis doivent être supprimées de ce liste: Blois, Créteil, Dinan, Ivry-sur-Seine, Rennes et Saint-Brieuc. Dites-moi quels cantons dans ces villes ont un autre chef-lieu?--Bancki (d) 29 mars 2011 à 12:26 (CEST)[répondre]

Suppléants[modifier le code]

Bonjour Les suppléants ne sont pas prévus dans les modèles des Cantons français Quelqu'un peut-il s'en charger ?

Mort du mot canton dans la vie de tous les jours[modifier le code]

Dommage que le mot "canton" ait disparu de la vie de tous les jours (mot d'origine gauloise!). Aujourd'hui on parle de communauté de communes, communautés d'agglomération, de communautés urbaines, de métropoles, de pays d'aménagement du territoire, etc, alors qu'on a oublié que le mot "canton" existait. Jusque dans les années 1950 le mot canton était encore perçu un peu comme on perçoit la "communauté d'agglomération" aujourd'hui, mais son sens s'est complètement restreint à celui de circonscription électorale. On devrait utiliser l'expression "circonscription électorale" à la place de canton, pour laisser l'emploi du mot "canton" à celui de communauté de communes ou d'agglo. C'est comme ça que les mots disparaissent, car on ne sait pas réattribuer un emploi moderne à ces mots, et à la place on invente des mots-paraphrases comme "communauté de communes". Une circonscription électorale n'a pas besoin de porter un mot aussi joli que "canton", et ce mot devrait être réemployer aujourd'hui là où on emploie "communauté de communes" ou d'agglo.

Chef-lieu de canton[modifier le code]

Est-ce qu'une commune reçoit des bénéfices si elle devient chef-lieu de canton? (Pourquoi est-ce que quelque cantons ont un autre chef-lieu que leur nom suggère?)--Bancki (d) 16 avril 2012 à 12:19 (CEST)[répondre]

Réponse: "On rappellera qu’à l’origine, le chef-lieu de canton était le siège d’une brigade de gendarmerie, d’une recette-perception des impôts et d’une justice de paix, c’est-à-dire d’une institution juridique de proximité. Si cette règle est depuis longtemps dépassée, la qualité de chef-lieu de canton permet à une commune de bénéficier des dispositions suivantes :

- le conseil municipal peut voter des majorations d’indemnités de fonction (art. L. 2123-22 CGCT);

- la commune est éligible à la première fraction de la dotation de solidarité rurale (art. L. 2334-21 CGCT);

- la communauté de communes à laquelle appartient la commune peut bénéficier d’une majoration de la dotation globale de fonctionnement (art. L. 5214-23-1 CGCT)."

(p. 77 dans le rapport au nom de la commission des lois (Sénat) sur les projets de loi relatifs à l’élection des conseillers locaux ) --Bancki (d) 4 janvier 2013 à 14:59 (CET)[répondre]

Presque pas de suppressions de canton[modifier le code]

"Depuis 1800, des cantons dépeuplés ont été supprimés..." -> Il n'y a pas beacoup d'exemples de cantons supprimés. A part du redécoupage de la Corse en 1973 (de 37 cantons à 17 nouveaux par 14 fusions de deux cantons et 3 fusions de trois cantons), je n'en trouve que 10 cas de cantons qui sont nettement supprimés: Chantilly (Oise, supprimé en 1802, rétabli en 1973), Point-à-Pitre (Guadeloupe, de 4 à 3 cantons en 1985), Grand-Rivière, Fonds-Saint-Denis et Morne-Vert (Martinique, trois suppressions en 1985), Allos + Colmars (Alpes-de-Haute-Provence, fusion en 1985), Saint-Paul et Senez (Alpes-de-Haute-Provence, deux suppressions en 1988), Le Havre (fusion des deux premiers cantons en 1991), Lyon (fusion des deux premiers cantons en 2000).--Bancki (d) 1 mai 2012 à 20:36 (CEST)[répondre]

Quelque départements presque pas modifiés[modifier le code]

Dans quelque départements la carte cantonnale est presque la même qu'en 1801. Un département n'a que subi une création de canton: Lozère (Mende de 1 à 2 cantons). Neuf départements n'ont que subi deux créations de cantons: Ardèche (Vals-les-Bains; Annonay de 1 à 2), Ariège (Pamiers de 1 à 2; Foix de 1 à 2), Creuse (Guéret de 1 à 3), Jura (Dole de 1 à 2; Lons de 1 à 2), Landes (Dax de 1 à 2; Mont-de-Marsan de 1 à 2), Deux-Sèvres (Niort de 2 à 3; Thouars de 1 à 2), Vaucluse (Avignon de 2 à 4) et Vendée (Saint-Jean-de-Monts; La Roche-s/Y de 1 à 2). --Bancki (d) 1 mai 2012 à 20:47 (CEST)[répondre]

Homonymies[modifier le code]

En lisant la page "Liste de cantons" d'un département, j'ai eu du mal à comprendre le sens de la section "Homonymies", et je me dis que je ne dois pas être le seul. Quand il est écrit "Il n'y a pas d'homonymie pour les cantons de (...), bien qu'il y en ait pour les communes chefs-lieux", faut-il lire "Bien qu'il ait des homonymies pour les communes X, (...), il n'y a pas d'homonymie pour les cantons portant ces noms" (et encore, je ne suis pas sûr que ma formulation soit beaucoup plus limpide) ? En effet, lorsqu'il y a homonymie, les homonymes sont directement fournis et le concept d'homonymie des cantons est directement explicité par les liens, alors l'internaute lambda peut comprendre facilement ce que cela signifie sur Wikipedia. En revanche, lorsqu'une section "Homonymie" dit qu'il n'y a pas d'homonymie... et qu'aucun lien ne permet d'aller plus loin, je crains que cela soit déroutant pour la plupart des internautes non-initiés. Qu'en pensez-vous ? (Le même problème existe pour d'autres circonscriptions territoriales bien sûr, mais j'ai pris l'exemple des cantons, qui est assez récurrent). — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Didier Lembrouille (discuter)

Je n'en ai moi non plus jamais vraiment compris l'intérêt, mais c'est un avis très personnel ! — t a r u s¡Dímelo! 12 mai 2014 à 18:24 (CEST)[répondre]

Cantons et arrondissements[modifier le code]

Jusqu'en 2014 les cantons étaient des subdivisions d'un arrondissement. Il me semble que le redécoupage de 2014 des canton supprime toute relation entre ces deux entités : un canton donné n'est pas forcément inclus dans un arrondissement et peut en chevaucher plusieurs. Je ne trouve pas cette précision dans les articles (qui sont vraiment à actualiser pour le coup). Ai-je raison ?

Bonne question. Sur le site web de l'INSEE, on voit toujours le canton comme une subdivision territoriale de l'arrondissement [1]. Le rapport du Sénat sur la loi de 2013 indique que, selon le juge administratif, " le découpage des cantons doit en principe respecter la carte communale et celle des arrondissements départementaux, « dans la mesure nécessaire à la bonne organisation et au bon fonctionnement des pouvoirs publics et des services publics ». Cependant, il peut y déroger pour des motifs d'intérêt général". Il y avait donc peut-être déjà des exceptions.
Quoi qu'il en soit, une [PDF] circulaire a dit clairement (p. 2), en s'appuyant sur le Conseil d'État, que le nouveau découpage n'a plus de lien nécessaire avec les arrondissements. Seudo (discuter) 30 mars 2015 à 05:20 (CEST)[répondre]

nouveux cantons : maillage purement démographique et politique[modifier le code]

Je déplore la suppresion dan l'article de l'alinéa suivante:

"Si la nature essentiellement géographique des cantons de 1801 avait en partie permis de ne pas toucher au découpage de départ, ce découpage 2015, parce que ne prenant en compte que le critère démographique, a du mal à s'imposer auprès non seulement des acteurs locaux (tous les journaux locaux ont consacré d'innombrables articles à ce sujet durant les années 2013 et 2014) mais aussi auprès de la population qui avait fini, au moins en zone rurale, par reconnaître le canton comme entité logique, pourvu d'un chef-lieu nettement plus gros que celui de n'importe quelle commune le composant, où demeuraient les derniers commerces du canton, éventuellement la coopérative agricole. Surtout, ce manque de légitimité autre que purement électorale et démographique condamne ces cantons à être un enjeu politique, retouché à la volonté du pouvoir politique, comme les circonscriptions électorales législatives."


Bancki (discuter) 1 septembre 2016 à 13:15 (CEST)[répondre]

Ce passage est d'une part non sourcé mais surtout traduit une méconnaissance fondamentale de la réforme. Si la terminologie est conservée (le mot "canton"), il y a bien eu une réforme de fond. Auparavant le canton était une subdivision administrative, c'est-à-dire qu'elle hébergeait en son chef-lieu des administrations de l'Etat (les "justices de paix" au début, puis brigades de gendarmerie, recettes-perceptions des impôts). Alors qu'aujourd'hui le canton est une subdivision électorale (ou circonscription électorale, ce qui veut dire la même chose), à savoir qu'on élit sur ce territoire un binôme de conseillers départementaux, et qu'on ne parle plus de chef-lieu de canton mais de bureau centralisateur. Ainsi dire "Surtout, ce manque de légitimité autre que purement électorale et démographique condamne ces cantons à être un enjeu politique, retouché à la volonté du pouvoir politique, comme les circonscriptions électorales législatives" est une aberration. Les cantons sont au contraire légitimés par la loi dans leur fonction de circonscription électorale. Il y a belle lurette qu'il n'y a plus de services de l'Etat ou départementaux au sein des cantons. Tout au plus le découpage territorial des gendarmeries continue à s'appuyer sur l'ancien découpage cantonal. Si ce découpage a pu par endroit être mal perçu c'est d'une part que certains élus ont cru perdre de leur représentation (surtout avec un binôme homme-femme, damnation, la gente féminine était jusqu'à peu très représentée au sein des conseils départementaux) et d'autre part que les élus ruraux ont cru voir une perte de pouvoir du fait précisément de ce critère démographique qui a conduit à augmenter les nombre de cantons urbains au détriment des ruraux (qui était surreprésentés dans certains départements).Roland45 (discuter) 1 septembre 2016 à 18:25 (CEST)[répondre]
Je vois bien l'importance de la réforme en ce qui concerne le principe de parité ; mais en ce qui concerne le statut du canton, en fait ce n'est pas depuis 2015 que le canton n'est plus qu'une subdivision électorale, c'est comme ça depuis très longtemps (1958 si je me réfère à l'article Justice de paix en France). Quant au passage en question, c'est surtout qu'il n'était pas neutre Michel421 (d) 18 mars 2017 à 17:50 (CET)[répondre]

Superficie erronée ?[modifier le code]

Bjour; Je lis dans 2:1 historique/création que la superficie (moyenne) du canton serait de 4 lieues carrées soit 18 km2.

Scusez, mais 1 lieue fait environ 4 km (un peu plus), une lieue carrée est donc un carré d'au moins 4 km de côté soit 16 (ou 18) km2, et donc, 4 lieues carrées devrait faire au moins 64 km2 (ou 72) soit 6.400 hectares. Ou je me trompe ? --Liberald (discuter) 3 février 2022 à 21:50 (CET)[répondre]